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 Le Scribe

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Otis Abberline
Otis Abberline

Admin □ The golden heart


Textos : 10
Points : 44
Date d'arrivée : 27/09/2017

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MessageSujet: Le Scribe    Le Scribe  EmptyMer 27 Sep - 20:41


Otis Abberline
Deuxième étoile à droite, et tout droit jusqu'au matin !  

► âge. 15246 jours au compteur. (41)
► job/étude. Professeur d'art dramatique/metteur en scène
► naissance. Né au Texas, dans la roulotte de ses parents.
► statut. C'est assez... compliqué. Il est marié mais il ne vit plus avec sa femme sous-prétexte qu'il ne range pas ses chaussettes sales. En réalité, il s'est marié alors qu'il n'avait que 19 ans à Los Angeles avec une femme plus âgée alors qu'il était bourré.
► classe sociale. Classe moyenne, il arrive à joindre les deux bouts même si quelques fois c'est un peu compliqué.
► orientation sexuelle. Les femmes, les femmes, toujours les femmes et à jamais.

► groupe. WALK DOWN TO THE WATER
► avatar.
Code:
[b][u]JOHNNY DEPP[/u][/b] # Otis Abberline
tes tics, tes manies.
#Petit Con : Otis, c’est ce type d’homme qui fuit les responsabilités et qui veut vivre sa vie comme il le souhaite. Il s’en fou des règles, il s’amuse à les défier la plupart du temps. Il aime avoir le contrôle sur la vie et déteste les personnes qui souhaitent lui dicter ce qu’il doit faire. Il a une assurance et une confiance en lui étonnante, ce qui doit surement exaspérer son entourage. Otis déteste se prendre la tête, il prend les choses comme elles viennent sans se soucier des conséquences. C'est bien pour sa qu'il est toujours marié, il ne veut pas verser de pensions alimentaire à cette femme qu'il n'a jamais aimé et avec qui il s'est marié car ils étaient bourrés.

#Don Juan : La séduction, c’est son truc. Il a une femme depuis presque 25 ans mais il ne peut s’empêcher d’aller tremper son biscuit ailleurs. Il aime ce jeu entre deux êtres. Il aime sentir qu’il contrôle sa proie, il aime titiller ses conquêtes. Il aime avoir le contrôle. Il n’est jamais tombé amoureux le gaillard. Il déteste l’engagement, il préfère ces nanas d’un soir qui lui font tourner la tête.

#Grand Enfant : Abberline, il refuse d’être un adulte et d’avoir tous les tracas qui vont avec. Il ne s’inquiète de rien, ce qui le rend très égoïste.  Pour lui, rien n’est grave, il n’y a que des solutions.  Ne pas prendre les choses à cœur, c’est sa philosophie. Cette façon de vivre, l'a amené à se construire une maison mobile qui l’empêne parfois sur des eaux troubles. Sa péniche à tout le confort de base. Il a même un potager sur le pont qu'il a aménagé. Il vit dans son monde, dans sa bulle, comme un enfant.

#Exigeant : Dès qu’il a une idée en tête, il fait tout pour la concrétiser. Il a toujours voulu suivre ses rêves, et sa détermination lui a fait pousser des ailes dans le dos. Il a des rêves plus fous les uns que les autres. Le dernier en date ? S’acheter chaque jour un livre différent pour créer une bibliothèque sur sa péniche.   Cette qualité l’aide beaucoup dans son travail même si celui-ci a perdu de sa grandeur. Après avoir, foulé les planches de Broadway durant sa jeunesse, il s’est reconverti en metteur en scène. Il a eu son succès il fut un temps, il regrette cette vie à présent.

#Racaille
: Otis, il pue l’arrogance, il aime la provocation. Otis, il aime la bagarre et se faire jeter hors des bars parce qu’il a une grande gueule. Ce type, il n’a pas de filtre, il dit les choses comme il les pense en y ajoutant du sarcasme quelques fois. Otis, il vaut mieux le compter dans ses amis que dans ses ennemis.

#Ravagé : Otis, il a grandi avec mai 68, les Beatles, le rock indépendant, woodstock, les hippies et la drogue. Il a le visage amaigri par ses frasques et ses diverses dépendances. Otis, il déjeune avec une canette de bière à 13 heures de l’après-midi, il se balade avec sa poudre blanche dans la poche arrière de son jeans et sa clope au bec.  

#Artiste : La scène, c’est toute sa vie. D’ailleurs, c’est la seule chose qui le fasse encore tenir debout avec ses potes. Le théâtre, l’improvisation et le rap, c’est les aspirations de vie de ce vieux rockeur. Les guitares, il jouait avec quand il était plus jeune mais il s’est plus passionné par les vers et les arpèges de la parole. Otis aurait pu devenir célèbre, il aurait pu fouler les tapis rouges mais il s’est vautré comme une vieille brique car les fondations n’étaient pas solides. C’est pas un type facile à vivre et cela lui a joué des tours et fermé des portes à jamais. Au fond, il le regrette mais il ne l’assumera jamais. Il préfère faire ses trucs de son côté et former les jeunes même si au fond, il aimerait de nouveau se trouver au centre de la scène et avoir des milliers de regards braqués sur lui.

#Super Pote : T’as besoin d’enterrer un cadavre ? Appelle Otis. T’as besoin de te changer les idées ? Apelle Otis. T’as envie de préparer un plan diabolique pour récupérer la femme de ta vie ? Appelle Otis. T’as besoin de rire ? Appelle Otis. Ce mec, c’est le super pote. Autant il n’aime pas gérer sa vie, autant il sait conseiller ses potes à merveille. C’est un peu contradictoire mais il arrive à comprendre les besoins des autres. Pour lui, les problèmes c’est l’Homme qui les crée, du coup, c’est plus simple, non ? Otis, il aime amuser la galerie avec ses vannes bien grasses ou salaces, parfois trop réfléchies.  Il aime se donner en spectacle pour chasser les idées noires des autres. Il préfère donner que recevoir mais ne supporte pas se sentir trahi. La loyauté, c’est quelque chose de très important pour lui et il n’hésiteras pas à se lever à 3 heures du matin pour venir en aide à celui qui en a besoin. Ce concept doit surement tenir de ses origines, de sa famille de bohémiens.

#Nomade : Otis, il voyage à bord de sa péniche et ne s’attache à aucune ville. Cependant, il est arrivé à Oro Valley et ne l’a plus quitté depuis. Il s’y sent bien. A bord de sa péniche, il a créé un potager et a développé un système de pêche, il arrive à se nourrir de par lui-même. Il préfère manger ce que la nature lui donne que ce que le magasin propose sauf quand il s’agit de chocolat et de bières.  Otis à eu la chance de visiter la plupart des états des Etats-Unis d’Amérique. Il a rencontré beaucoup de monde, il aime s’enrichir des discussions avec d’autres et tisser des liens.



derrière l'écran.
► Saki Pan V.... A.... J'dis pas la suite, j'ai trop honte tsss► Scénario ou inventé ? Inventé What a Face ► comment as-tu trouvé JoD ? J'sais plus moi, vous me faites rire.  ► et t'en penses quoi ?C'est nu :coeur2: ► des trucs à ajouter/améliorer ?: J'veux une écharpe. J'ai froid. Merci ! Love1
Partie en freestyle, vas-y présente toi.  
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Otis Abberline
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MessageSujet: Re: Le Scribe    Le Scribe  EmptyMer 27 Sep - 20:47


Les Gitans, où qu'ils aillent, ils font chier.


Otis, cette canaille, à dès le départ montré qu’il allait être un gamin qui n’en faisait qu’à sa tête. Il a vu le jour dans la roulotte de ses parents alors que le clan fêtait le mariage du frère du mari de la cousine de la tante de la mère d’Otis. Grande famille, ces bohémiens. Les Abberline et toute la clique, sillonnent les vallées et les routes des Etats-Unis depuis des générations. Leur vie, c’est leurs voyages en quête d’une terre qui pourra les accueillir. Lorsqu’Otis est né, ils siégeaient sur une plaine du Texas, dormaient entouré des chevaux sauvages.  La mère d’Otis, la diseuse de bonne aventure du clan, avait éjecté son rejeton aussi simplement qu’on ne pouvait l’imaginer.  Elle était habituée de toute façon, ce dernier était le 6ème enfant qui s’expulsait de son ventre.  Otis, grandit donc dans une famille, une très grande famille aimante. Ces bohémiens vivaient simplement et en harmonie. Avec l’entraide et le partage comme principales valeurs. Chaque soir les anciens contaient des histoires aux plus jeunes sous des airs de guitare classique : ils racontaient Woodstock, les guerres que leurs ancêtres avaient vécus, les échecs qu’ils avaient essuyés mais que l’amitié a toujours réparés. L’unité fait la force, c’était leur devise. Personne ne survit sans sa famille.

Et puis c’est parti en couille.

Les sirènes hurlantes ont déchiré le calme de la nuit, les gyrophares ont aveuglé ce clan de bohémiens qui n’avaient rien demandé à personne. Ils ont débarqué, armés de boucliers et pointant leurs armes sur les roulottes attendant que les premiers sortent. Ils ont tout retourné, évincé cette communauté, enlevé les enfants à leurs parents, disséminé cette gigantesque famille qui n’avait rien demandé. Ils ne faisaient rien de mal, ils vivaient et allaient là o leurs cœurs leur murmurait d’aller. Ce n’était pas des voleurs mais c’est de cela dont ont les accusait. Alors les enfants, ont été écartés pour être placés dans de vraies familles, des familles normales. Des familles d’américains où l’enfant est éduqué et va à l’école, où la mère cuisine pour son mari alors qu’il regarde la télé lorsqu’il n’est pas au travail à amasser de l’argent. Ouais. Ils ont arraché Otis pour le foutre dans une famille normale et terriblement ennuyeuse alors qu’il n’avait que 8 ans.

Le jeune bohémien a rapidement été placé dans une famille qui a rapidement jeté l’éponge. Quelle idée de placer un enfant qui a vécu dans la nature dans une grande ville comme Boston ? C’était un pari stupide de penser qu’Otis s’adapterait. Otis ne s’adapte pas, on s’adapte à lui. Pour montrer son mécontentement d’avoir été éloigné loin de sa mère et de sa famille, il a voulu cuire le chat dans le four. A 8 ans, on ne mesure pas vraiment l’impact de ces choses-là et je vous rassure, Otis n’a plus jamais retenté l’expérience et n’est pas devenu non plus un sérial Killer. Il n’était juste pas content. Après un court séjour dans un orphelinat, une petite famille est venue le chercher.  Les Digger ont accueilli Otis dans leur petite maison à la campagne. Ils vivaient simplement et ils étaient enfin heureux d’avoir un enfant même si Otis n’avait pas leur sang qui coulait dans ses veines. Même si Otis se montrait être un garçon turbulent et hyperactif, les Digger l’ont élevé comme leur fils et ont respecté son passé. A l’école, Otis s’est révélé être un élève particulièrement doué et sympathique avec ses petits copains. A ses douze ans, ses parents d’accueil eurent une révélation lorsquils virent Otis jouer dans la pièce de théâtre de l’école. Ce garçon avait un don pour cette discipline, ils l’inscrivirent à des cours de théâtre et ce fut la révélation.

A l’adolescence, Otis commença à être victime de sa belle gueule. Il enchaina les petites copines, parfois sortant avec plusieurs en même temps sans se soucier de leur briser le cœur. Néanmoins, le karma s’est retourné contre lui lorsque les Digger ont succombé à un accident de voiture. Il se retrouvait encore seul, sans port et sans attaches à ses seize ans. Il décide d’arrêter l’école et d’aller vivre à New-york pour tenter sa chance. Son talent en poche, il prit le train en direction de Brooklin où grâce à l’héritage des Digger, il prit un petit studio miteux. Tout en bossant dans une enseigne célèbre de Fast-Food, il enchainait les castings sans réel succès. Et puis, à 18 ans, il décroche enfin un contrat où il obtint le premier rôle dans une comédie musicale. C’est le début du succès. Il se fait remarquer et enchaine les pièces. Il commence tout doucement à se faire un nom et on réclame son visage. Otis parvint même à tourner dans une pub pour un dentifrice. Son compte en banque s’affole, c’est le début de la gloire. Alors qu’il profite d’un peu de répit en vacances dans un festival de Reggae à Las Vegas, il fait la connaissance d’une jeune femme à qui il demandera sa main grâce à un coup de pouce nommé ‘’Alcool’’’ le lendemain. En quelques secondes ils furent mariés.  Après le Festival et ses frasques, prenant conscience de l’erreur qu’il avait faite (malgré une nuit inoubliable),  il quitta le navire et laissa en plan la jolie demoiselle de quelques années son ainée à presque vingt ans. Au revoir, les casinos et le poker, rebonjour Broadway.

Et puis, c’est le déclin.

La célébrité lui monte à la tête. Otis succombe à l’alcool et prend de la cocaïne suite à son échec à Hollywood. Il retourne à Broadway alors qu’il approche de la trentaine. Les contrats se font plus rares, l’argent est dépensé en tatouages et en addictions. Il perd pied. Sur un coup de tête, il décide de tout quitter parce que de toute façon, plus personne ne veut de lui. Il s’achète une péniche en Floride qu’il aménage durant cinq années en maison sur l’eau. Il souhaite renouer avec ses origines. Il sillonne le pays à la recherche de ses pairs qu’il a dû quitter lorsqu’il était enfant. Otis visite les USA, rencontre des personnes formidables. Il a soif de ses personnes et de leurs récits. Il sort un peu la tête hors de l’eau. Durant des années, il voyage et renoue avec la nature. Il se repenti, se calme un peu sur la boisson et la coke. Et puis un matin, il arrive en Arizona où il décide de s’installer quelques temps, de poser pied à terre. Il s’y sent bien dans cette ville. Alors, il propose ses services comme professeur d’art dramatique au lycée de la ville dans un premier temps. Les élèves sont assez réceptifs à cet étrange professeur. Otis prend donc la décision de proposer des cours particuliers à ceux qui le désirent. Cela fait à présent un peu plus d’un an que sa péniche n’a pas levé l’encre. Se pourrait-il qu’un jour il reprenne le large ?
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